Ce qui me rapproche d’André Derain :
«Les idées ne suffisent pas, disait-il
avant de mourir en 1954. Il faut le miracle.» En savoir +
«Les doctrines, écrivait Derain en
1972, nous auront porté le conseil d'être de notre temps: mais voilà qui est
compliqué, et dans le doute, je proposerai plutôt de tous les temps. »
Ce portrait est pour :
Ce qui me rapproche de lui :
«J’ai voulu échapper à la misère, échapper à la
pauvreté, échapper à l’obscurantisme et à un monde sans culture.» En savoir +
Recherche associée :
« Derain--Un-fauve-pas-ordinaire »
Résumé :
Derain commence à peindre à Chatou en 1895. Il "peint chaud". Tellement chaud qu'à sa peinture et à celle de quelques autres, on donne le nom de "fauvisme" : les couleurs éclatent comme des bâtons de dynamite. Dans ce Paris d'avant guerre où les peintres se nomment Vlaminck -l'ami-, Matisse, Picasso, Braque, Derain s'est fait un nom. Il suivra jusqu'à sa mort, en 1954 à Chambourcy, un parcours très personnel. Ses natures mortes, ses portraits, ses nus tournent résolument le dos à toutes les avant-gardes. Sa curiosité l'entraîne ailleurs : livres illustrés, sculptures, décors et costumes pour la scène. Patrice Bachelard révèle Derain, celui qui disait "D'ailleurs un art ne pourrait pas être moderne puisqu'il mourrait en naissant. L'art c'est encore et toujours la mémoire des générations".
Ils sont nés un 08 septembre : Ozias Humphry (1742), Antonín Dvořák (1841), Alfred Jarry (1873), Pierre Dubreuil (1891), Denis de Rougemont (1906), Luc Etienne (1908), Peter Sellers (1925), William Vance (1935), Archie Goodwin (1937), Zachary Richard (1950), Ray Wilson (1968), Jeff Panacloc (1986), ...
Ils nous ont quittés un 08 septembre : Richard Strauss (1949), Jean Seberg (1979), Maurice Genevoix (1980), Moondog (1990), André Pousse (2005), Pierre Bergé (2017), ...
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