03 juillet 1883 - 03 juin 1924
Ce qui me rapproche de Franz Kafka :
"La croissance de l'homme ne s'effectue pas de bas en haut, mais de l'intérieur vers l'extérieur."
"La croissance de l'homme ne s'effectue pas de bas en haut, mais de l'intérieur vers l'extérieur."
Dans sa bibliographie :
Résumé :
Nous avons des yeux pour voir Pour connaître Dieu nous avons notre
existence. Voici le témoignage le plus poignant de toute l'histoire de la
littérature. Que devient un homme quand le verbe pénètre en lui, décide de sa
vie et lui fait espérer un mystérieux salut ?
" Nous avons été chassés du paradis mais le paradis n'a pas été détruit pour cela. " Ce paradis qu'on doit retrouver sera d'autant plus beau qu'on revient de loin. Kafka relate tout ce qui l'envahit et l'abat : peur de la maladie et de la solitude, désir et crainte du mariage, lutte contre le milieu familial et religieux. Etouffé par ses scrupules, Kafka ne perd jamais de vue la vie spirituelle dont il attend force et lumière. Ce journal c'est tout l'ennui de la vie et le salut qui l'éclaire.
" Nous avons été chassés du paradis mais le paradis n'a pas été détruit pour cela. " Ce paradis qu'on doit retrouver sera d'autant plus beau qu'on revient de loin. Kafka relate tout ce qui l'envahit et l'abat : peur de la maladie et de la solitude, désir et crainte du mariage, lutte contre le milieu familial et religieux. Etouffé par ses scrupules, Kafka ne perd jamais de vue la vie spirituelle dont il attend force et lumière. Ce journal c'est tout l'ennui de la vie et le salut qui l'éclaire.
Extrait :
"Il est parfaitement concevable que la
splendeur de la vie
se tienne prête à côté de chaque être et toujours dans sa plénitude,
mais qu’elle soit voilée, enfouie dans les profondeurs, invisible, lointaine.
Elle est pourtant là, ni hostile, ni malveillante, ni sourde,
qu’on l’invoque par le mot juste, par son nom juste, et elle vient.
C’est là l’essence de la magie, qui ne crée pas, mais invoque."
Ce portrait sera pour
Son hommage :
Ils sont nés un 03 juillet : Pierre Daboval (1918), Eddy Mitchell (1942), Michel Polnareff (1944), Roland Magdane (1949), Jacno (1957), Vince Clarke (1960), ...
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