vendredi 27 août 2021

Vince Taylor

14 juillet 193927 août 1991 



Sur la scène du Théâtre de l'Empire, à Paris, le chanteur anglais de rock Vince TAYLOR et les musiciens qui l'accompagnent interprètent : "Cadillac", "Come on everybody", "Blueberry hill", "Long tall Sally", "Hound dog", "Money honey", "Sweet little sixteen". 



Ce portrait est pour :

Fabrice Gaignault

Son livre :


"Sa vraie carrière n’a duré que deux ans. Mais pour tous ceux qui l’ont connu alors, il demeure inoubliable. Né en Angleterre, ayant grandi en Amérique, Vince Taylor débarque en 1960 à Paris, préférant être « une épée chez les voisins qu’un second couteau chez lui ». Mais quelle épée ! Vince pourfend tout. Ses talents d’interprète et son jeu de scène déclenchent l’hystérie. Eddie Barclay veut en faire le rival de Johnny Hallyday, David Bowie s'’en inspire. Pourtant, des années plus tard, pour survivre Vince fait la plonge dans un bistrot. Comment en est-il arrivé là ? Et surtout, pourquoi tous ceux qui le reconnaissent, fans de la première heure, musiciens, manager, rêvent-ils de lui accorder une seconde chance ? Vince lui-même a-t-il envie de remonter sur scène ?  Et quel magnétisme exerce-t-il encore pour que tant d’inconnus tentent de l’en convaincre ?"

En fait de biographie, c’est plutôt un « roman vrai » que Fabrice Gaignault  consacre à Vince Taylor, s’attachant, au-delà d’une reconstitution des faits documentée, à percer le mystère d’un homme sublime jusque dans son acharnement à se perdre, mélange ahurissant d’orgueil et de défaitisme, de vitalité et de pulsions autodestructrices.


Recherches associées :



Ils sont nés un 27 août : Man Ray (1890), André Deluol (1909), Darry Cowl (1925), Philippe Labro (1936), Glen Matlock "The Sex Pistols", Stephan Elliott (1964), Paolo Conti (1977), …

Ils nous ont quittés un 27 août : Titien (1576), Le Corbusier (1965), 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire