5 mars 1922 - 2 novembre 1975
Ce qui me rapproche de Pier Paolo Pasolini :
« L'histoire, c'est la passion des fils qui voudraient
comprendre les pères. »
Extraits :
« Le temps perdu ne se rattrape pas ! En fait, il vit au plus profond de nous, et seuls quelques-uns de ses fragments, anesthésiés ou embaumés par une mémoire conceptuelle et intéressée, vivent dans la conscience et forment notre autobiographie."
"Seul peut éduquer celui qui sait ce qu'aimer veut dire [...]."
Ce qui me rapproche de lui :
« Je
pense souvent à la notion d’image/temps en faisant ce travail, et le résultat
est souvent riche d’une émotion très particulière, comme si l’effet de perte,
de “jamais plus“ était démultiplié, comme lors d’une confidence. Je me dis que
si la monteuse et moi sommes touchés, le spectateur le sera aussi, si on laisse
le temps au film de se déployer, à tous les éléments de « concerter » … On est
dans la composition musicale… »
Dans sa filmographie :
SYNOPSIS:
Dans la
remise d’un petit théâtre de Palerme, les marionnettes (Pupi) se
lamentent sur leur sort alors qu’un réalisateur Français débarque en Sicile
pour la première fois.
Même si
Pasolini annonçait en 1975 la Disparition des Lucioles, le triomphe
du Château des
Mensonges berlusconien et la fin politique du monde, de nouvelles rencontres et la lecture d’un petit essai de Georges
Didi-Huberman vont venir questionner le pessimisme désabusé du cinéaste.
Son récit
intime se colore peu à peu d’espoir et de révolte, sous le signe d’Orlando, le
prince blessé des Pupi, et des lucioles.
Son hommage :
"Si Pasolini revenait."
Ils sont nés un 02 novembre : George Boole (1815), Patrice Chéreau (1944). Etienne Lécroart (1960), k.d. Lang (1961), ...
Ils nous ont quittés un 02 novembre : Mort Shuman (1991), Marie Laforêt (2019), ...
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