Who's Who Art Club International

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Artiste Membre

dimanche 28 juillet 2019

Léon Spilliaert

28 juillet 1881 - 23 novembre 1946
  
Léon Spilliaert est un représentant majeur du symbolisme belge autour de 1900. Autodidacte, il a entretenu des affinités électives avec les artistes et écrivains belges de sa génération (Emile Verhaeren, Maurice Maeterlinck).

Ce qui me rapproche de Léon Spilliaert :

Au sujet de l'impondérable fuite du temps

"En dernière instance, ce que nous suggère le regard terrifié et aveuglé de l'artiste est cet entre-deux, l'instant(...) d'une coexistence simultanée dans le temps et l'espace
du vivant et du mort." 


« Ma vie s'est passée seul et triste, avec un immense froid autour de moiJ'ai toujours eu peur. »


J’ai offert ce portrait (en 2010) à 


Ce qui me rapproche de lui :

"Des étendues / J'en veux encore / Des étendues / Des mers à boire / Comme des draps pendus / Au décor..."

Le clip


Son hommage :



Recherches associées : James Ensor, Odilon Redon...


Ils sont nés un 28 juillet : Jean Roba (1930), Francis Veber (1937),  Richard Wright (1943), Mike Bloomfield (1943), Jim Davies (1945), Peter Doyle (1949), Gag (1963), …



Ils nous ont quittés un 28 juillet : Antonio Vivaldi (1741), Jean-Sébastien Bach (1750), Eddie Hinton (1995), Jerome Smith (2000), …

dimanche 2 juin 2019

Alain

03 mars 1868 - 2 juin 1951

Ce qui me rapproche du philosophe  Alain :


« Tous les arts sont comme des miroirs où l'homme connaît  et reconnaît quelque chose de lui-même qu'il ignorait. »

« Pour mon goût, voyager c'est faire à la fois un mètre ou deux,  s'arrêter et regarder de nouveau un nouvel aspect des mêmes choses. »

« Le besoin d'écrire est une curiosité de savoir ce qu'on trouvera. »

« Le propre de la poésie est que les mots éclairent selon leur place. »


Dans sa bibliographie :

Extrait :

« Montrer partout le visage de l’ennui et s’ennuyer des autres. S’appliquer à déplaire et s’étonner de ne pas plaire. Chercher le sommeil avec fureur. Douter de toute joie ; faire à tout triste figure et objection à tout. De l’humeur faire humeur. En cet état, se juger soi-même. Se dire : « Je suis timide ; je suis maladroit ; je perds la mémoire ; je vieillis. » Se faire bien laid et se regarder dans la glace. Tels sont les pièges de l’humeur. »  En savoir +

Ils sont nés un 2 juin : Marquis de Sade (1740), Thomas Hardy (1840), Edward Elgar (1857), Lotte Reiniger (1899), Johnny Weissmuller (1904), Mario Malouin (1956), Tony Hadley (1960), Yuksek (1977), …

Ils nous ont quittés un 2 juin : André Mathieu (1968), Mario Comensoli (1993), Olivier Debré (1999), Boyd Bennett (2002), …

samedi 18 mai 2019

Roger Gilbert-Lecomte

18 mai 1907 31 décembre 1943

Le Grand Jeu, c’est Gilbert-Lecomte qui en assure la direction et qui en donne le programme dans les termes suivants :
« Pour nos ôter le souci d’avoir encore, à l’avenir, à rectifier par des paroles de tels malentendus, une fois pour toutes, nous précisons :
Que nous n’espérons rien
Que nous n’avons aucune aspiration mais plutôt des expirations
Que, techniciens de désespoirs, nous pratiquons la déception systématique dont les procédés connus de nous sont assez nombreux pour être souvent inattendus
Que notre but ne s’appelle pas l’Idéal mais qu’il ne s’appelle pas

Qu’il ne faut pas faire passer notre frénésie pour de l’enthousiasme. (Non, madame, ce n’est pas beau, la jeunesse.) »

Arrogance joyeuse, désespoir allègre, refus de s’inféoder qui expliquera les tensions constantes avec Breton et AragonLe Grand Jeu, dont Roger Gilbert-Lecomte est la plus pure incarnation,  est avant tout un beau travail du négatif qui annonce Debord et les situs. Parmi les « procédés inattendus », évidemment, se trouvaient la drogue et l’alcool. Si Daumal écrivit La Grande Beuverie, on pourra lire ici Monsieur Morphée, empoisonneur public  de Gilbert-Lecomte qui date de 1930 mais qui est resté inédit jusque très récemment : « Ne pourront jamais comprendre : tous mes ennemis, les gens d’humeur égale et de sens rassis, les français-moyens,  les ronds de cuir de l’intelligence… » En savoir +

Ce portrait sera pour 


Claire Barré.

"Devenir tout à fait fou, illuminé, fou à lier sans liens, sans passé, habité par des songes, rêveur aux yeux terriblement ouverts, aliéné à la Poésie, la seule maîtresse valable car elle exige tout, absorbe tout." En savoir +

Son hommage :


jeudi 28 février 2019

Daniel Darc # 06

20 mai 1959 - 28 février 2013

Ce qui me rapproche de Daniel Darc :


« Je crois qu’il y a une vingtaine d’années de retard entre mon physique et ma tête. » En savoir +

Sa dédicace :

 Cette sanguine est pour
Son hommage :
Daniel Darc

Ils sont nés un 28 Février : Michel de Montaigne (1533), Thomas Theodor Heine (1867), Marcel Pagnol (1895), Pierre Jansen (1930), Brian Jones (1942), Lionel Le Falher (1957), Gaston Lagaffe (1957), Jeanne Mass (1958), Jason Aldean (1977), Jeanne Cherhal (1978), ...

Ils nous ont quittés un 28 Février : Alphonse de Lamartine (1869), Bobby Bloom (1974), David Byron (1985), Abel Quezada (1991), Helmut Zacharias (2002), Annie Girardot (2011), …

samedi 26 janvier 2019

Jean Guillou

 18 avril 1930 26 janvier 2019

Ce qui me rapproche de Jean Guillou :

"La musique inscrite sur une feuille, ce n'est après tout qu'une succession de signes musicaux qui ne donnent que des indications limitées; du point de vue rythmique, nous lisons des divisions toute mathématiques. Un homme intervient en tant qu'homme pour lire la musique.
Par exemple, un comédien qui interprète Racine ou Molière ne le fait pas comme les comédiens d'autrefois. Ainsi comme le comédien, le musicien fournit un apport humModernactuel. L'homme est intermédiaire entre la musique et l'instrument. Les comédiens font parfois ensemble la lecture d'une pièce pour réaliser par exemple une première approche; on ne peut pas dire qu'alors ils l'interprètent. Beaucoup de musiciens ne sont parfois que des «lecteurs», ils n'interprètent pas.

Cette distanciation n'est discutée que dans le domaine de l'orgue ou du clavecin, jamais dans celui des autres instruments et encore moins dans celui du théâtre où chaque acteur, chaque metteur en scène révèle l'oeuvre à chaque fois sous un jour totalement nouveau. Curieusement, beaucoup d'organistes ou d'organologues se manifestent comme des Savonarola de la musique !" En savoir +


Sa dédicace :

Son courrier :


mardi 8 janvier 2019

Paul Verlaine # 02

 30 mars 1844 - 8 janvier 1896

Ce qui me rapproche de Paul Verlaine :

"Par notre manière de penser et nos attitudes, nous construisons notre bonheur ou notre malheur."

"Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon coeur d'une langueur monotone."

J'ai offert ce portrait à :

Sa pensée pour Paul Verlaine :

Recherches associées :
  • Paul VERLAINE

Green

Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous. 
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.

J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.

Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encore de vos derniers baisers ;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.





Ils sont nés un 8 janvier : Gaston Miron (1928), Elvis Presley (1935), Stephen Hauking (1942), David Bowie (1947),  Paul Hester (1959), ...

Ils nous ont quittés un 8 janvier : Paul Verlaine (1896), Pierre Jean Jouve (1976), Normand Hudon (1997), Alexis Weissemberg (2012), ...