06 mai 1915 - 10 octobre 1985
Ce qui me rapproche d’Orson Welles :
Sa personnalité kaléidoscopique
« Je
pense qu'un artiste doit toujours être en décalage avec son temps. »
« Cet amateur de masques était aussi un
grand pudique. A l'écran – « A mon avis, il y a deux choses absolument
irreprésentables : un acte sexuel réaliste et le fait de prier Dieu. »
– comme dans la vie. »
« On naît seul, on
vit seul, on meurt seul. C'est seulement à travers l'amour et l'amitié que l'on
peut créer l'illusion momentanée que nous ne sommes pas seuls. »
« Seuls l’amour et l’amitié comblent la solitude de
nos jours. Le bonheur n’est pas le droit de chacun, c’est un combat de tous les
jours. Je crois qu’il faut savoir le vivre lorsqu’il se présente à nous. »
« Cabotiner, c'est jouer faux. C'est ouvrir un sac à
malices au lieu de faire monter la sauce. Le bon acteur, le véritable acteur de
cinéma, ne peut jamais être trop fort. Ce qu'il ne doit pas faire, c'est
s'étaler. »
Recherches associées :
Résumé :
Cet ouvrage est composé de
plusieurs entretiens de Orson Welles avec Peter Bogdanovich, réalisés à partir
de 1968 et s'étendant sur 15 ans. C'est sa seule véritable autobiographie.
"Je n'ai subi qu'une fois l'influence de quelqu'un : avant de tourner Citizen Kane, j'ai vu quarante fois La Chevauchée fantastique. Je n'avais pas besoin de prendre exemple sur quelqu'un qui avait quelque chose à dire, mais sur quelqu'un qui me montrerait comment dire ce que j'avais à dire : pour cela, John Ford est parfait."
"Je n'ai subi qu'une fois l'influence de quelqu'un : avant de tourner Citizen Kane, j'ai vu quarante fois La Chevauchée fantastique. Je n'avais pas besoin de prendre exemple sur quelqu'un qui avait quelque chose à dire, mais sur quelqu'un qui me montrerait comment dire ce que j'avais à dire : pour cela, John Ford est parfait."
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