04 mai
1929 - 20
janvier 1993
C’est l’histoire d’une actrice devenue une légende. En plus de sa philanthropie, Audrey Hepburn a marqué son époque par son élégance, sa sophistication et sa classe. Rien d’étonnant à ce que ses mots aient traversé tant d’époques.
Ce qui me rapproche d'Audrey Hepburn :
Quelques unes de ses phrases fétiches :
"La beauté d’une femme n’est pas dans les
vêtements qu’elle porte, la figure qu’elle affiche ou la manière dont elle se
coiffe les cheveux. La beauté d’une femme se voit dans ses yeux car ils sont la
porte de son coeur, l’endroit où réside son amour."
"L’argent en lui-même n’a jamais rendu personne
heureux. Mais il m’a toujours donné un vrai sentiment de sécurité, ce qui a
renforcé ma capacité à être heureuse."
"L’élégance est la seule beauté qui ne se fane
jamais."
"Aux autres, je donne le droit d’être comme ils
sont. À moi, je me donne le devoir d’être chaque jour meilleure."
"Je crois au rose. Je crois que rire est
le meilleur exercice possible. Je crois qu’il faut s’embrasser,
s’embrasser beaucoup. Je crois qu’il faut rester fort quand tout semble
aller mal. Je crois que les filles heureuses sont les plus belles. Je
crois que demain est un autre jour et que les miracles existent."
"Pensez-y : si un jour vous avez besoin d’une
main secourable, vous en trouverez une à chaque bout de vos bras. En
vieillissant vous rendrez compte que vous avez 2 mains, l’une pour vous
aider vous- même, l’autre pour aider les autres."
"La beauté d’une femme n’est pas dans son
maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C’est la tendresse
qu’elle donne, l’amour, la passion qu’elle exprime."
"Les gens, encore plus que les choses, ont
besoin d’être rétablis, ravivés, récupérés, et pardonnés ; ne rejetez jamais
quelqu’un." En savoir +
Recherche associée :
Résumé :
1964. Dublin. Mel Ferrer, le mari d'Audrey Hepburn, organise une rencontre
entre la jeune femme et celui qu'elle n'a pas vu depuis près de trente ans,
Joseph, son père, qui avait abandonné sa famille pour mieux embrasser ses
idéologies fascistes et dont la trace s'est perdue dans le fracas de la seconde
guerre mondiale... Par-delà les triomphes et les fantômes, c'est une femme aussi fragile que
volontaire et terriblement exigeante envers elle-même, implacablement humble et
anxieuse que Clémence Boulouque s'attache à dépeindre avec une austère douceur.
Extrait :
« Un jour, elle disait à un journaliste : " Les
gens, plus encore que les objets, doivent être restaurés, réhabilités. Il faut
leur redonner vie, les faire revenir à soi, et leur pardonner; ne jamais jeter
quiconque." La chronique de Gérard Collard
Ils sont nés un 04 mai : Ernest Dagonet (1856), Dynam-Victor Fumet (1867), Jacques Lanzmann (1927), Roland Giguère (1929), Yves Lecoq (1946), Randy Travis (1959), …
Ils nous ont quittés un 04 mai : Stefano Maria Legnani (1715), Joseph Joubert (1824), Camille Moreau-Nélaton (1897), Henri Bosco (1976), Victor Lanoux (2017), …
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