vendredi 30 mars 2018

Vincent Van Gogh # 02

30 mars 1853 - 29 juillet 1890

Ce qui me rapproche de Vincent Van Gogh :

« Mais involontairement je suis toujours porté à croire que le meilleur moyen pour connaître Dieu, c’est d’aimer beaucoup. Aimez tel ami, telle personne, telle chose, ce que tu voudras, tu seras dans le bon chemin pour en savoir plus long après, voilà ce que je me dis. Mais il faut aimer d’une haute et d’une sérieuse sympathie intime, avec volonté, avec intelligence, et il faut toujours tâcher d’en savoir plus long, mieux et davantage. Cela mène à Dieu, cela mène à la foi inébranlable. »

« Il faut une certaine dose d'inspiration, de rayon d'en haut, qui n'est pas à nous pour faire de belles choses."

Ce portrait est pour Dick Annegarn.

Ce qui me rapproche de lui :




"Van Gogh, c’est un destin qui t’en impose ?

… Ma mère m’a dit que je lui faisais penser à Van Gogh et ça la rendait triste. Les gens s’inquiètent pour moi plus que je ne le fais moi-même.

Elle a le sentiment que tu es à la dérive ?

... ; C’est pas tous les jours drôle. La chaise de Van Gogh, elle est vide. C’était sa manière à lui de dire qu’il avait cherché un ami et qu’il ne l’a jamais trouvé. J’aurais pu être cet ami. Son frère Théo n’a jamais été foutu de vendre un seul de ses tableaux de son vivant. Moi, je les aurais vendus. La chaise vide, c’était après sa dispute avec Gauguin. Van Gogh, un peu comme moi, a essayé de créer un courant, il a essayé de s’associer avec d’autres artistes qui l’ont rejeté, qui ne l’ont pas considéré. Gauguin l’a pris pour un fou. La chaise, elle aurait dû être occupée par Gauguin. Cette solitude, je la connais bien."
par F. Dordor le 01 janvier 1997

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