samedi 26 janvier 2019

Jean Guillou

 18 avril 1930 26 janvier 2019

Ce qui me rapproche de Jean Guillou :

"La musique inscrite sur une feuille, ce n'est après tout qu'une succession de signes musicaux qui ne donnent que des indications limitées; du point de vue rythmique, nous lisons des divisions toute mathématiques. Un homme intervient en tant qu'homme pour lire la musique.
Par exemple, un comédien qui interprète Racine ou Molière ne le fait pas comme les comédiens d'autrefois. Ainsi comme le comédien, le musicien fournit un apport humModernactuel. L'homme est intermédiaire entre la musique et l'instrument. Les comédiens font parfois ensemble la lecture d'une pièce pour réaliser par exemple une première approche; on ne peut pas dire qu'alors ils l'interprètent. Beaucoup de musiciens ne sont parfois que des «lecteurs», ils n'interprètent pas.

Cette distanciation n'est discutée que dans le domaine de l'orgue ou du clavecin, jamais dans celui des autres instruments et encore moins dans celui du théâtre où chaque acteur, chaque metteur en scène révèle l'oeuvre à chaque fois sous un jour totalement nouveau. Curieusement, beaucoup d'organistes ou d'organologues se manifestent comme des Savonarola de la musique !" En savoir +


Sa dédicace :

Son courrier :


mardi 8 janvier 2019

Paul Verlaine # 02

 30 mars 1844 - 8 janvier 1896

Ce qui me rapproche de Paul Verlaine :

"Par notre manière de penser et nos attitudes, nous construisons notre bonheur ou notre malheur."

"Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon coeur d'une langueur monotone."

J'ai offert ce portrait à :

Sa pensée pour Paul Verlaine :

Recherches associées :
  • Paul VERLAINE

Green

Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous. 
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.

J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.

Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encore de vos derniers baisers ;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.





Ils sont nés un 8 janvier : Gaston Miron (1928), Elvis Presley (1935), Stephen Hauking (1942), David Bowie (1947),  Paul Hester (1959), ...

Ils nous ont quittés un 8 janvier : Paul Verlaine (1896), Pierre Jean Jouve (1976), Normand Hudon (1997), Alexis Weissemberg (2012), ...